Pour la quinzième semaine, c’est la première fois que je n’ai pas eu envie d’écrire durant toute la semaine. J’écris d’ailleurs ce billet une semaine plus tard. Tous les écrivains le savent, la régularité de l’écriture est la clé. Oui, je suis d’accord, mais je pense également que lorsque cela ne veut pas, il faut aussi rester à l’écoute de son cerveau et s’autoriser une déconnexion d’écriture. Je ne parle pas ici de syndrome de la page blanche, mais juste de l’envie qui n’était pas là et ce malgré le tas d’idées qui fourmillaient dans ma tête. C’est donc ainsi, sans préavis, que je vous ai laissé sans lecture et que je me suis pris une semaine de congé ! Durant toute la semaine quinze, j’ai eu un énorme besoin de détente. J’ai donc laissé mon clavier seul pour la semaine (il a été bien sage, ouf!) et me suis contentée de noter, dans mes jolis carnets, les bribes d’idées qui se sont présentées à moi. J’ai passé mon temps à lire, à faire des puzzles et des Lego, du découpage, du gribouillage… Bref j’ai laissé les manettes à mon enfant intérieur pour quelques jours, il s’est éclaté ! Il a maintenant assez joué, je reprends les commandes du navire.
Malgré tout, j’ai eu mauvaise conscience ( on ne se refait pas !) de vous avoir grugé d’une nouvelle, j’ai donc décidé d’écrire rétroactivement une petite bafouille loufoque, que j’ai intitulée « La disparue » . Un hommage drôle et cynique à une nouvelle qui n’est pas née la bonne semaine !
La quinzième nouvelle de mon projet Bradbury est terminée.
La nouvelle de cette semaine s’intitule : « La disparue ».
Pour lire la nouvelle, c’est par ici :
Bonne lecture les amis !
